alors ils-sont ou les footix !!!
3 participants
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alors ils-sont ou les footix !!!
bon francois tu ramènes ton équipe de footix pour départager les deux équipes ?
score réel après l'arrêt d'un de vos joueurs : 13 - 13
score réel après l'arrêt d'un de vos joueurs : 13 - 13
lo- Messages : 363
Date d'inscription : 17/03/2008
Re: alors ils-sont ou les footix !!!
bon je vais changer le titre trop provocateur..... il doit y avoir du pipi dans certaines culottes.........
lo- Messages : 363
Date d'inscription : 17/03/2008
Re: alors ils-sont ou les footix !!!
Pierre et ses potes ne seront pas là aujourd'hui.
(Lo, c'est sur le terrain qu'il faut les challenger, pas une semaine après et derrière son ordinateur...)
(Lo, c'est sur le terrain qu'il faut les challenger, pas une semaine après et derrière son ordinateur...)
François- Messages : 268
Date d'inscription : 19/03/2008
Re: alors ils-sont ou les footix !!!
ouep tu as raison, en plus je suis plus trop motivé !!!
lo- Messages : 363
Date d'inscription : 17/03/2008
Re: alors ils-sont ou les footix !!!
bon je vais prendre ma douche tant pis pour cette semaine, a la semaine prochaine...
lo- Messages : 363
Date d'inscription : 17/03/2008
Re: alors ils-sont ou les footix !!!
Lache rien Lo, et fais pas le con : prends pas de douche !
On a peut être une proposition étonifiante à te proposer (faute de pouvoir faire le match retour de la semaine dernière).
On a peut être une proposition étonifiante à te proposer (faute de pouvoir faire le match retour de la semaine dernière).
François- Messages : 268
Date d'inscription : 19/03/2008
Re: alors ils-sont ou les footix !!!
je suis propre mec
c'est quoi ta proposition
c'est quoi ta proposition
lo- Messages : 363
Date d'inscription : 17/03/2008
Re: alors ils-sont ou les footix !!!
... Ca doit faire bizarre mec...
Bon, la proposition c'est de se faire un tennis ballon à villeneuve d'ascq (sauf si un bus de joueurs se réveillent d'ici là) .
En 2x2, c'est vraiment sympa : y a la d'la technicité, du toucher du ballon, de la compétition.
Il y a là des têtes, des genoux, des contrôles divers et variés...
(cf la nouvelle chanson de Vanessa Paradis : "Il y a là de la litérature...")
Pat, Lo, moi, manque juste le 4e joueur. Ca se trouve.
Qu'est-ce que t'en dis ?
Bon, la proposition c'est de se faire un tennis ballon à villeneuve d'ascq (sauf si un bus de joueurs se réveillent d'ici là) .
En 2x2, c'est vraiment sympa : y a la d'la technicité, du toucher du ballon, de la compétition.
Il y a là des têtes, des genoux, des contrôles divers et variés...
(cf la nouvelle chanson de Vanessa Paradis : "Il y a là de la litérature...")
Pat, Lo, moi, manque juste le 4e joueur. Ca se trouve.
Qu'est-ce que t'en dis ?
François- Messages : 268
Date d'inscription : 19/03/2008
Re: alors ils-sont ou les footix !!!
je suis vert je pensais que tu allais me proposé un pure plan, la chute n'est que plus dur
lo- Messages : 363
Date d'inscription : 17/03/2008
Re: alors ils-sont ou les footix !!!
Hum hum... aurais-tu peur de perde au tennis-ballon ?
" , ils m'ont volé la recette"
" , ils m'ont volé la recette"
François- Messages : 268
Date d'inscription : 19/03/2008
Re: alors ils-sont ou les footix !!!
Il y a là la peinture/Des oiseaux d'envergure/Qui luttent contre le vent
Il y a a là les bordures/Les Distances, ton allure/Quand tu marches juste devant
Il y a là les fissures/Fermées les serrures/Comme envolés les cerfs-volants
Il y a là la littérature/Le manque d'élan/L'inertie/Le mouvement
Pafois on regarde les choses/Telles qu'elles sont/En se demandant pourquoi
Parfois , on les regarde/Telles qu'ellespourraient être/En se disant pourquoi pas"
Il y a lalala.../si l'on prenait le temps/si l'on prenait le temps
Il y a là la littérature/Le manque d'élan/L'inertie le mouvement
Parfois on regarde les choses....
Il y a là les mystères/Le silence sous la mer/Qui luttent contre le temps
Il y a là les bordures/Les disatnces, ton allure/quand tu marches juste devant
Il y a là les murmures/Un soupir, l'aventure/Comme emmêlés les cerfs-volants
Parfois on regarde les choses...
Il y a a là les bordures/Les Distances, ton allure/Quand tu marches juste devant
Il y a là les fissures/Fermées les serrures/Comme envolés les cerfs-volants
Il y a là la littérature/Le manque d'élan/L'inertie/Le mouvement
Pafois on regarde les choses/Telles qu'elles sont/En se demandant pourquoi
Parfois , on les regarde/Telles qu'ellespourraient être/En se disant pourquoi pas"
Il y a lalala.../si l'on prenait le temps/si l'on prenait le temps
Il y a là la littérature/Le manque d'élan/L'inertie le mouvement
Parfois on regarde les choses....
Il y a là les mystères/Le silence sous la mer/Qui luttent contre le temps
Il y a là les bordures/Les disatnces, ton allure/quand tu marches juste devant
Il y a là les murmures/Un soupir, l'aventure/Comme emmêlés les cerfs-volants
Parfois on regarde les choses...
François- Messages : 268
Date d'inscription : 19/03/2008
Re: alors ils-sont ou les footix !!!
Ton souvenir surgit de la nuit où je suis.
La rivière à la mer noue sa plainte obstinée.
Abandonné comme les quais dans le matin.
C'est l'heure de partir, ô toi l'abandonné!
Des corolles tombant, pluie froide sur mon coeur.
Ô sentine de décombres, grotte féroce au naufragé!
En toi se sont accumulés avec les guerres les envols.
Les oiseaux de mon chant de toi prirent essor.
Tu as tout englouti, comme fait le lointain.
Comme la mer, comme le temps. Et tout en toi fut un naufrage!
De l'assaut, du baiser c'était l'heure joyeuse.
lueur de la stupeur qui brûlait comme un phare.
Anxiété de pilote et furie de plongeur aveugle,
trouble ivresse d'amour, tout en toi fut naufrage!
Mon âme ailée, blessée, dans l'enfance de brume.
Explorateur perdu, tout en toi fut naufrage!
Tu enlaças la douleur, tu t'accrochas au désir.
La tristesse te renversa et tout en toi fut un naufrage!
Mais j'ai fait reculer la muraille de l'ombre,
j'ai marché au-delà du désir et de l'acte.
Ô ma chair, chair de la femme aimée, de la femme perdue,
je t'évoque et je fais de toi un chant à l'heure humide.
Tu reçus l'infinie tendresse comme un vase,
et l'oubli infini te brisa comme un vase.
Dans la noire, la noire solitude des îles,
c'est là, femme d'amour, que tes bras m'accueillirent.
C'était la soif, la faim, et toi tu fus le fruit.
C'était le deuil, les ruines et tu fus le miracle.
Femme, femme, comment as-tu pu m'enfermer
dans la croix de tes bras, la terre de ton âme.
Mon désir de toi fut le plus terrible et le plus court,
le plus désordonné, ivre, tendu, avide.
Cimetière de baisers, dans tes tombes survit le feu,
et becquetée d'oiseaux la grappe brûle encore.
Ô la bouche mordue, ô les membres baisés,
ô les dents affamées, ô les corps enlacés.
Furieux accouplement de l'espoir et l'effort
qui nous noua tous deux et nous désespéra.
La tendresse, son eau, sa farine légère.
Et le mot commencé à peine sur les lèvres.
Ce fut là le destin où allait mon désir,
où mon désir tomba, tout en toi fut naufrage!
Ô sentine de décombres, tout est retombé sur toi,
toute la douleur tu l'as dite et toute la douleur t'étouffe.
De tombe en tombe encore tu brûlas et chantas.
Debout comme un marin à la proue d'un navire.
Et tu as fleuri dans des chants, tu t'es brisé dans des courants.
Ô sentine de décombres, puits ouvert de l'amertume.
Plongeur aveugle et pâle, infortuné frondeur,
explorateur perdu, tout en toi fut naufrage!
C'est l'heure de partir, c'est l'heure dure et froide
que la nuit toujours fixe à la suite des heures.
La mer fait aux rochers sa ceinture de bruit.
Froide l'étoile monte et noir l'oiseau émigre.
Abandonné comme les quais dans le matin.
Et seule dans mes mains se tord l'ombre tremblante.
Oui, bien plus loin que tout. Combien plus loin que tout.
C'est l'heure de partir. Ô toi l'abandonné.
Pablo Neruda
La rivière à la mer noue sa plainte obstinée.
Abandonné comme les quais dans le matin.
C'est l'heure de partir, ô toi l'abandonné!
Des corolles tombant, pluie froide sur mon coeur.
Ô sentine de décombres, grotte féroce au naufragé!
En toi se sont accumulés avec les guerres les envols.
Les oiseaux de mon chant de toi prirent essor.
Tu as tout englouti, comme fait le lointain.
Comme la mer, comme le temps. Et tout en toi fut un naufrage!
De l'assaut, du baiser c'était l'heure joyeuse.
lueur de la stupeur qui brûlait comme un phare.
Anxiété de pilote et furie de plongeur aveugle,
trouble ivresse d'amour, tout en toi fut naufrage!
Mon âme ailée, blessée, dans l'enfance de brume.
Explorateur perdu, tout en toi fut naufrage!
Tu enlaças la douleur, tu t'accrochas au désir.
La tristesse te renversa et tout en toi fut un naufrage!
Mais j'ai fait reculer la muraille de l'ombre,
j'ai marché au-delà du désir et de l'acte.
Ô ma chair, chair de la femme aimée, de la femme perdue,
je t'évoque et je fais de toi un chant à l'heure humide.
Tu reçus l'infinie tendresse comme un vase,
et l'oubli infini te brisa comme un vase.
Dans la noire, la noire solitude des îles,
c'est là, femme d'amour, que tes bras m'accueillirent.
C'était la soif, la faim, et toi tu fus le fruit.
C'était le deuil, les ruines et tu fus le miracle.
Femme, femme, comment as-tu pu m'enfermer
dans la croix de tes bras, la terre de ton âme.
Mon désir de toi fut le plus terrible et le plus court,
le plus désordonné, ivre, tendu, avide.
Cimetière de baisers, dans tes tombes survit le feu,
et becquetée d'oiseaux la grappe brûle encore.
Ô la bouche mordue, ô les membres baisés,
ô les dents affamées, ô les corps enlacés.
Furieux accouplement de l'espoir et l'effort
qui nous noua tous deux et nous désespéra.
La tendresse, son eau, sa farine légère.
Et le mot commencé à peine sur les lèvres.
Ce fut là le destin où allait mon désir,
où mon désir tomba, tout en toi fut naufrage!
Ô sentine de décombres, tout est retombé sur toi,
toute la douleur tu l'as dite et toute la douleur t'étouffe.
De tombe en tombe encore tu brûlas et chantas.
Debout comme un marin à la proue d'un navire.
Et tu as fleuri dans des chants, tu t'es brisé dans des courants.
Ô sentine de décombres, puits ouvert de l'amertume.
Plongeur aveugle et pâle, infortuné frondeur,
explorateur perdu, tout en toi fut naufrage!
C'est l'heure de partir, c'est l'heure dure et froide
que la nuit toujours fixe à la suite des heures.
La mer fait aux rochers sa ceinture de bruit.
Froide l'étoile monte et noir l'oiseau émigre.
Abandonné comme les quais dans le matin.
Et seule dans mes mains se tord l'ombre tremblante.
Oui, bien plus loin que tout. Combien plus loin que tout.
C'est l'heure de partir. Ô toi l'abandonné.
Pablo Neruda
Re: alors ils-sont ou les footix !!!
Pour ceux qui veulent relever le challenge du tennis-ballon, appelez-moi sur mon portable...
Début du match à 15h30, à Villeneuve d'ascq (terrain derrière Peugeot SIAN).
Début du match à 15h30, à Villeneuve d'ascq (terrain derrière Peugeot SIAN).
François- Messages : 268
Date d'inscription : 19/03/2008
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